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Critique - The Devil And Father Amorth (2017)

William Friedkin est incontestablement un des meilleurs cinéastes de l'horreur de tout les temps grâce à ses films cultes tels que L'Exorciste ou Le Convoi De La Peur.

Cette fois si, il ne réalise pas un film, mais un documentaire, sur un réel exorcisme, donc la question, est-ce que c'est que du cinéma ?


Etant donné que c'est un documentaire je ne peux pas juger les jeux d'acteurs, donc je ne sais pas comment rédiger cette critique.


Un des plus gros points positifs du docu c'est le début ou on parle en profondeur du film L'Exorciste, et c'est intéressant.


Autant passer directement à "l'histoire" du documentaire.

C'est sympa à suivre malgré les lenteurs du récit, on met trop longtemps à nous montrer l'exorcisme, on nous présente d'abord des histoires sordides, la vie du père Amorth (Paix à son âme), et tout ça pendant au moins 20 minutes (c'est long pour une durée totale de 1h08)

Ensuite on entre dans le sujet, l'exorcisme, qui prends 20 minutes voir 30 si je me souviens bien, et la y'a un hic, la voix "bizarre" de la femme sur l'exorcisme, on voit clairement que c'est modifié.


Quelques experts se sont penchés sur l'audio du documentaires, et ont eux-aussi supposés que c'était trafiqué.


Après L'Exorcisme, on nous parle pendant 10-20 minutes de la suite, la deuxième rencontre entre la femme et Friedkin, c'est une histoire à en faire des sueurs froides mais (on s'en doutait) il n'avait pas allumé la caméra !


Cependant, quand on écoute les témoignages au début du docu, les avis des experts psychologues et même des témoignages de prêtres, et bien c'est intéressant, car, on connaît du coup leurs avis sur "l'exorcisme" en tant que traitement contre une sorte de folie très spéciale.


On passe un bon moment devant ce documentaire, mais je trouve ça dommage que l'audio ai était trafiqué, ça manque de réalisme.


Mais on passe un bon moment.



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© 2018 par Gwenégan Le Run.

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